Résumé : |
Des premières sociétés sédentaires à l'Antiquité, les rites funéraires répondent à un besoin universel d’harmonie entre les vivants et les défunts. Au Moyen Age, prier pour abréger leurs souffrances soude la communauté des chrétiens. La modernité ne met pas fin aux apparitions de fantômes. Mais, dans des sociétés qui, depuis le XIXe siècle, connaissent le déclin de la pratique religieuse et la montée en puissance de la médecine, nos relations avec les morts sont profondément modifiées. |